Voici une liste de projets de végétalisation sur lesquels je peux vous accompagner :
Bassin aquatique
La création d’une mare ou d’un bassin, avec une grande diversité de plantes, attire une faune très diverse qui joue un rôle important dans l’harmonie de l’espace. Le point d’eau, devient le coin le plus vivant de tout le jardin et est une aubaine pour beaucoup d’animaux. Cela permet également de créer un véritable microclimat en jouant un rôle de tampon thermique, et de stocker de l’eau utile par exemple pour un arrosage ponctuel.
Bosquet comestible / jardin partagé
Ce type de plantation vise à créer un endroit où les riverains se rencontreront, un lieu d’échange et de partage autour de la cueillette et de la dégustation de ce qui sera produit. On peut planter un bosquet comestible, même sur une petite surface (8 à 10 m²) mais l’idéal est d’avoir un terrain plus grand pour pouvoir aménager des espaces de détente à proximité. Il faudra planter de façon dense et choisir des arbres assez bas pour simplifier la récolte. L’entretien du lieu sera un peu plus important que pour d’autres types de plantation, mais se limitera à un peu de désherbage, de paillage et d’arrosage. Ce sont bien plus que de simples sites collectifs de jardinage : ce sont des espaces de rencontre et de partage d’expérience, des centres d’activités accessibles à tous, en un mot des lieux où se tisse du lien social.
Haie « vivante »
Qu’il s’agisse de délimiter son jardin, de se « cacher » des voisins, de briser les vents dominants ou encore de structurer les espaces, planter une haie est un formidable moyen d’obtenir plus de vie dans son jardin. Les oiseaux se régaleront des baies à l’automne, les pollinisateurs s’activeront dès les printemps et les feuillages offriront de nombreuses cachettes.
Toit végétalisé
Avec le dérèglement climatique, apportant notamment de sévères périodes de canicule, il est temps de s’intéresser aux toitures végétalisées. Outre leur aspect esthétique, elles forment en effet de précieux biotopes dans la ville, améliorent l’air et présentent des avantages considérables en termes d’ingénierie structurelle et de physique du bâtiment : elles rafraîchissent en été, réchauffent en hiver et prolongent la durée de vie d’un toit.
Jardin pédagogique
Ce projet de jardin, qui peut être facilement mené dans une école située en ville, combine plusieurs objectifs pédagogiques : découvrir la nature, accompagner ou soutenir l’apprentissage du langage (oral, écrit, lu) et intégrer les élèves d’horizon différents. Il est un moyen d’apprendre autrement en s’appuyant sur la curiosité naturelle des enfants, leur goût de l’exploration, leur capacité d’apprentissage, leur sensibilité à la beauté. De plus, il facilite les apprentissages en articulant concret et abstrait (l’odeur d’une fleur) et en associant le geste et la parole (« je plante une graine », « je fais une bouture »). Cette démarche pédagogique qui s’articule autour d’activités liées à la nature et ancrées dans le réel, permet non seulement la construction des savoirs de l’enfant mais également la construction de sa personne. Elle le responsabilise, le guide vers l’autonomie et lui fait prendre conscience de son rôle d’éco-citoyen.
Mini-forêt urbaine
Ce type de plantation, principalement arboré, vise à s’intégrer dans la trame verte pour offrir une zone de refuge permettant aux espèces animales de circuler et de se protéger. Même si ce sont des « mini-forêts », les plantations d’arbres selon la méthode Miyawaki ont besoin d’une certaine surface pour pouvoir se développer. Néanmoins, elles peuvent s’intégrer partout en ville, même dans les espaces compliqués qui sont peu accessibles, ou encore là où les sols sont pauvres et pollués. Le principe de la méthode est de planter des essences locales, à une forte densité (3 arbres par mètre carré). Ce type de plantation nécessite un entretien limité (désherbage et paillage) et seulement les trois premières années. Ensuite, la plantation sera autonome et évoluera naturellement.
Mur végétalisé
Dans un espace très contraint, avec une petite surface au sol, il faut penser à végétaliser en hauteur. Un trou de quelques dizaines de centimètres permet de planter des espèces grimpantes qui viendront couvrir la façade. À partir de 80 cm, il est possible de rajouter des arbustes et des plantes herbacées. Planter des grimpants le long d’une façade n’est pas très coûteux. Cela se fait facilement puisqu’il n’y a pas besoin d’un gros travail de préparation du sol. Cela demande peu d’entretien car la grande majorité des plantes grimpantes ne dépasseront pas les câbles qui seront installés. Enfin, ce sont des plantes qui ont généralement une croissance rapide. Par exemple, le houblon peut pousser de 5 mètres en 6 mois !
Mais aussi
Jardin flottant, prairie fleurie, végétalisation intérieure, potager, verger…
N’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez adresser d’autres types de végétalisation !